Un dérèglement climatique ?



La terre se réchauffe, à cause des émissions de dioxyde de carbone engendrées par les activités humaines. Il faut agir. Tel, est le refrain entonné constamment par les médias "bien-pensants". Qu'en est-il en réalité ? 


Rappel de quelques faits

Le cycle du carbone est complexe : mécanismes naturels de réabsorption par le sol et les océans ; nourriture pour la végétation. Augmenter la concentration, c'est augmenter la photosynthèse, donc le stockage du CO² par les plantes (1). Les flux naturels du gaz carbonique sont 50 fois plus importants que ceux d'origine humaine. Il n'y a pas de corrélation entre l'évolution des températures et le niveau de CO². Exemple : entre 1945 et 1975, période de forte augmentation du CO² causée par le développement économique, la température moyenne baissait. Hivers rigoureux en 1954, 1956, 1963...

En dehors des périodes glaciaires dues à des modifications de l'orbite terrestre (2), le climat a toujours été variable, réchauffements et refroidissement se succédant, liés a des interactions complexes entre les océans, la dissolution/réémission des gaz, les cycles de l'activité solaire.

De 1650 à 1695, il y eût une période froide, le soleil atteignant un point particulièrement bas de son activité appelé "minimum de Maunder". S'y ajoute l'imprévu : lors de l'éruption du volcan Tambora en 1815, les aérosols envoyés à plus de 40 km d'altitude ont occulté partiellement le rayonnement solaire, provoquant 3 années de refroidissement et la dernière grande famine d'Europe.

Sur tout ceci nous n'avons aucun pouvoir. Prétendre "agir pour le climat" n'a pas de sens. Alors, direz-vous, à quoi riment les thèses du GIEC (Groupe d'Experts intergouvernemental sur l'évolution du climat, visant de subventions d'Etat), nous précisant une hausse catastrophique des températures jusqu'à la fin du siècle si on ne fait rien ? Derrière leurs calculs biaisés, rejetés par des scientifiques du monde entier, se tient un discours politique.

A quelles fins ? 

  • Créer des impôts nouveaux (taxes sur les émissions de CO²),
  • Détourner l'attention des citoyens des vrais problèmes environnementaux (3),
  • Promouvoir la géo-ingénierie.
Des apprentis-sorciers projettent en effet de lâcher des nanoparticules métalliques dans la haute atmosphère afin de "l'assombrir" (pollution supplémentaire et baisse de rendements agricoles).

En arrière-plan : la recherche d'une maîtrise mondiale du climat.

Conclusion : au réchauffement actuel succèdera comme toujours un refroidissement (prévu par certains vers 2030) … mais les médias répètent comme des perroquets ce que raconte le GIEC, puisqu'en France il n'y a pas de débat sur le sujet.


Qui a dit que les infos n'étaient pas sous contrôle ?

Jean Blusseau

(1) 15 milliards de tonnes de carbone sont extrait annuellement de l'atmosphère par la végétation, en période de croissance. Quand à "l'effet de serre" atmosphérique annoncé, il ne "colle" pas avec les lois de la physique et de la thermodynamique. Il y a réchauffement dans un système fermé...ce n'est pas le cas de l'atmosphère.

(2) La dernière (glaciation de Würm) s'est achevée il y a 9000 ans.

(3) Interrogeons-nous sur nos 66 000 tonnes de pesticides utilisés annuellement sur le sol français, sur nos 1,5 million de m3 de déchets nucléaires qui y sont déjà stockés (dont certains seront radioactifs pendant des milliers d'années), sur nos déchets plastiques (22% seulement sont recyclés) et ainsi de suite ...