CHAMPIGNONS,
…
Le Perray-en-Yvelines le 9
novembre 2019
Comme toujours, partir avec un
panier et un couteau, épluchage et nettoyage en forêt pour revenir avec des
champignons propres et laisser un espoir de repousses.
Les bords de rigoles sont
généreux et avantageux. Même les pistes équestres. Une petite ondée, un rayon
de soleil. (24 heures pour la pousse d’un champignon).
Mes amis Perrotins vont même
le samedi et le dimanche les ramasser.
- Avec mon amie biologiste, j’ai découvert le pied de mouton – tout perlé dans son dessous.
- Le bolet orangé qui bleuit à la coupe et perd le bleu à la cuisson.
- Avec un vieux ramasseur, la lépiote chevelue : la bonne en saveur a une collerette qui sent la fine noisette. L’autre a une collerette qui sent le navet (comestible mais peu savoureuse). Fière et droite sur ces 15 cm, avec son faut de chapeau marron foncé.
- La fausse girole (lactaire) facile à reconnaître avec son faisceau.
Ne prendre que ce l’on
connaît.
Les « baveurs »
n’aiment pas les « baveux ».
Pourtant, TOUT EST BON DANS LA
POËLE.
« Sans persil », me
disent certains. » Sans ail », me disent d’autres : NATURE !!!
Perdues en forêt, Nathalie tentait d’écouter
les bruits de voiture. Non, c’était Hélicoptère !
Notre coin de forêt était déserté par des
récoltants chargés – début d’après-midi.
Je lui ai dit « nous
allons bien voir un cavalier »
- Ultime secours : une personne à pied, hélée…
- C’était un cavalier – sans cheval – qui nous a raccompagnées jusqu’à la piste équestre boueuse pour rejoindre la Croix Vilpert.
- S’il consulte «LE PERRAYSCOPE», il se reconnaîtra.
F.S.